Friday, September 28, 2012

Montage #73 - Mozart and his horny friends/Mozart... et en-cor plus





As of November 2nd, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 2 novembre 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/MozartAndHisHornyFriends


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English Commentary – le commentaire français suit

For this final installment of the Mozart… and much more series, we turn to one of my favourite instruments – the French Horn. I don’t know about you, but the French Horn has a sound I simply love to hear. When it’s played well, the horn can sound just as melodious as any other instrument of the orchestra.

My commentary will be divided into two distinct parts: Mozart horn music I chose to integrate to this montage, and the other works.

From the Mozart catalogue, I chose one of Mozart’s four horn concertos (the number 1), played so brilliantly in this vintage recording by England’s Dennis Brain. In last week’s Once Upon the Internet, I provided a pair of horn concertos, and embedded the last one in the French commentary. We are set in that department!

The next Mozart work on the montage is the Posthorn serenade.

The post horn (also posthorn, post-horn, or coach horn) is a valveless cylindrical brass or copper instrument with cupped mouthpiece, used to signal the arrival or departure of a post rider or mail coach. It was used especially by postilions (early mailmen) of the 18th and 19th centuries.

The instrument commonly had a circular or coiled shape with three turns of the tubing, though sometimes it was straight. It is therefore an example of a natural horn. The cornet was developed from the post horn by adding valves.

The first trio of the second minuet of the serenade (the sixth movement) features a solo flautino (or piccolo) played over strings. The second trio of the second minuet features a solo for the post horn. It is that solo which gives the serenade its nickname.

The recording I chose is a vintage performance by the Lausanne Chamber Orchestra, and the solo horn is provided by a real post horn (either that, or our horn player had a really bad day at the office…),

The Mozart works are bookended by a pair of fine horn works – the first is Carl Czerny’s Andante and polacca for horn and piano. Czerny's music was profoundly influenced by his teachers, Clementi, Hummel, Salieri and Beethoven. This small chamber work sounds very Beethoven-like, and the performance by Marsolais and Jalbert ois right on the mark.

As for Schumann’s Kozertstuck for four horns, it is a hair-raising delight! This is one of the composer's most neglected works in my opinion - this is unfortunate because it is an inventive, compelling work that rewards repeated hearings. It should not be compared to concertante works of the German repertoire, but rather  it should be discussed in terms of its lyric quality and harmonic ingenuity.

I think you will love this music too.

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Commentaire français


Nous finissons notre série Mozart... et encore plus avec un joli jeu de mots, qui suggère amplement le sujet de ce dernier montage - dédié au cor (parfois appelé cor français afin de le distinguer de son cousin, le cor anglais).

Pour commencer, parlons de la partie Mozart de ce montage, à commencer par le premier des quatre concerti pour cor d'Amadeus, dans un enregistrement d'époque signé Dennis Brain et Karajan dirigeant le Philharmonia de Londres. Le quatuor de concerti est incomplet - si on compte les deux concerti suggérés sur Jadis sur Internet récemment. Pour compléter l'ensemble, voici le second concerto (interprète et accompagnement non-identifiés).


L'autre suggestion musicale Mozartienne est sa sérénade posthorn.

Le cor postal, ou cor de postillon, ou cornet postal est un instrument de musique utilisé par certains porteurs de courrier. Ils signalaient ainsi leur arrivée et leur départ d'un lieu pour que les destinataires et les expéditeurs de lettres puissent venir à leur rencontre.

Il s'agît d'un instrument sans valves ou pistons (à l'instar du cor moderne), et est à la fois son ancêtre et celui du cornet. Mozart réserve une section du menuet du 6e mouvement de sa sérénade à cet instrument, d'où le surnom. La version retenue ici, celle de l'orchestre de chambre de Lausanne, utilise un vrai cor postal - sinon, les ratés du soliste seraient inexplicables...

Pour compléter le montage, j'ai retenu deux pièces pour cor - une oeuvre de chambre de l'émule de Beethoven Carl Czerny et le majeustueux Konzertstuck pour quatre cors et orchestre de Schumann.

Bonne écoute!

Tuesday, September 25, 2012

La chronique du disque (septembre 2012)


In English: http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/1041-la-chronique-du-disque.html

NDLR: La chronique du disque est un billet présenté mensuellement, relatant mes achats et acquisitions du mois qui s’achève. Ceci n’est pas une «critique du disque», mais plutôt un billet d’informations : qu’est-ce que j’ai trouvé, où l’ai-je trouvé, et qu’est-ce que j’en pense. Des informations qui peuvent piquer votre curiosité et (peut-être) vous amener à considérer les pièces ou même les prestations que je propose, afin de les ajouter à votre collection.
Parce qu’il se doit, je vais assigner une «note» (une lettre entre A et D) pour ces achats – en fait, deux notes, comme on le fait au patinage artistique. Une note sera attribuée à la qualité sonore (QS), et une autre pour l’impression globale (IG). Voici un barème :
  • Pour la qualité sonore: mon point de référence est mon iPod avec écouteurs de type bouton. J’écoute mon iPod au travail et dans l’autobus, donc avec un certain niveau de bruit de fond. Une «bonne» note est assignée si la prise de son est bonne, la musique est claire et exempte de bruits de surface, et généralement permet une audition claire de la prestation sans dérangement.
  • Pour l’impression globale: il s’agît-là d’une note subjective, entièrement basée sur la performance dans le contexte d’auditions comparables. Une «bonne» note requiert une prestation convaincante, pleine de virtuosité, représentative de l’ère et des traditions qui accompagnent la pièce.

Mes acquisitions pour septembre


Mozart - Piano Sonatas complete (Andras Shiff)
[Torrent ]

Dans ma collection, les interprétations de Walkter Gieseking des sonates de Mozart occupent une place de choix. Ces prestations, jadis trouvées sur le site Public Domain Classic, soufrent d’un malaise technologique évident. Afin d’ajouter des versions plus modernes (stereo et numériques) de ces sonates, j’ai choisi de me procurer l’intégrale d’Andras Schiff. J’ai fait le téléchargement de la collection entière, mais je n’ai jusqu’à présent qu’écouté un échantillon modester (les nos. 15-18). En fonction de ce que j’ai entendu, j’endosse entièrement la critique positive de plusieurs concernant cet ensemble: M. Schiff propose une interprétation juste – pas trop sèche, ni trop coquette. Mise en garde : les sonates de Mozart n’ont pas l’envergure de celles de Beethiven, ar exemple, mais représentent un opus sérieux, qui explore en profondeur les possibilities du piano classique. Mes notes provisoires:: A pour la QS, A pour l’IG.
DUPRE Complete organ works Oosten
.Si je n’aiu pas fait l’audition de l’intégrale Mozart de Schiff du début à la fin, c’est parce que je me suis offert une indulgence – celle d’écouter du début à la fin l’intégrale de l’oeuvre pour orgue de Marcel Dupré par le néerlandais Ben van Oosten. Dans ces pages, j’ai dicuté récemment de son intégrale Vierne, et j’ai .également acquis son intégrale Widor que je garde pour une chronique subséquente – sans doute mes coups de cœur sur MQCD en fin d’année. Dupré est, bien sûr, une sommité comme interprète et compositeur pour le Grand Instrument, et van Oosten nous offre ces œuvres *profanes et sacrées) sur une large broichette d’iunstruments, que ce soient des Cavaillé-Coll de France, des instruments Irlandais, Américains et (comble de plaisir), le Casavant de l’Église St-Jean Baptiste, rue Rachel à Montréal (dans une sélection d’orgue apparentée à Noël.).  Une labeur d’amour (si vous me passez l’anglicisme), un artiste convaincu, et convaincant.  A- pour la QS, A- pour l’IG.
http://images.emusic.com/music/images/album/111/558/11155873/600x600.jpg
MOZART: Church Sonatas (Complete)
[eMusic ]

La Prairie est une petite municipalité en banlieue Sud de Montréal, et son église de La Nativite de la Ste Vierge est le lieu d’enregistrement de ce disque qui réunit les Musici de Yuli Turovsky et l’organiste Geneviève Soly dans cette intégrale des sonates d’église de Mozart. Le choix du Casavant de l’église de La Prairie me laisse un peu perplexe – il y a d’autres églises Montréalaises qui sont aussi bien nanties – sinon mieux - au point de vue de l’orgue, mais il faut croire (comme l’OSM jadis à St-Eustache) qu’une église de banlieue, et la possibilité de contrôler les sources de bruits urbains dans une petite municipalité ont joué dans ce choix. Rien à dire de la prise de son, de l’instrument et, comme toujours, M. Turovsky et ses musiciens jouent Mozart avec enthousiasme, un jeu clair et juste sur des instruments modernes. La routine habituelle, quoi! A pour la QS, A- pour l’IG.
Saint-Saens - Piano Concertos (Complete) [2CD] 
[
Torrent ]

Charles Dutoit prit en main la direction artistique de l’OSM en 1978, et commença à endisquer avec eux à St-Eustache en 1980. C’est donc durant cette étroite fenêtre de deux ans que M. Dutoit s’est associé avec Pascal Rogé dans cette intégrale Saint-Saëns, dirigeant un trio d’orchestres londoniens. Les musiciens ont collaboré quelques années plus tard sur un disque Ravel (avec l’OSM) avec le meme résultat: ces artistes se complètent fort bien, et M. Rogé a un sens du piano français qui est indéniable. Que ce soit la ballade du deuxième concerto, ou une lecture ravissante du concerto Egyptien, les interprétations sont sans égal.  
A pour la QS, A pour l’IG.
http://images.emusic.com/music/images/album/116/159/11615927/600x600.jpg
Il Trittico - Orchestra and Chorus of the Opera House, Rome
[eMusic ]

Il trittico est le trio d’opéras en un acte de Puccini créé au Met en 1918. En dépit de leur origine et conception commune, ces opéras se trouvent souvent jumelés à d’autres opéras – que ce soit avec CAV ou PAG, ou avec l’un des courts opéras de Menotti… Ce qui mérite notre attention ici est, non seulement le jumelage original des trios operas, mais l’usage d’interprètes communs dans ces performances. Soulignions Tito Gobbi tout à faiot convaicant dans la houpelande de Michele ou comme intervenant polisson dans Gianni Schicchi, et  Victoria de los Angeles la « fille à papa »  Lauretta dans un Babino Caro mémorable, et  implorant l’intervention de la Sainte Vierge dans le délire suicidaire de Suor Angelica. Ces enregistrements d’antan ont leurs tares technologiques, mais les interprétations (et l’aubaine) font de ce disque un achat judicieux! A- pour la QS, A pour l’IG.

Friday, September 21, 2012

Montage #72 - Mozart & the Clarinet/la clarinette



As of October 26, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 26 octobre 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/MozartTheClarinet






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English Commentary – le commentaire français suit


Anton Paul Stadler (1753–1812) was an Austrian virtuoso clarinet and basset horn player. He was reputed to be able to produce a beautiful tone, with exceptional mastery of the low register of the basset clarinet and distinctive basset horn playing. A contemporary Viennese critic, referring to Stadler, wrote, “I would not have thought that a clarinet could imitate the human voice so deceptively as you imitate it. Your instrument is so soft, so delicate in tone that no-one who has a heart can resist it." Stadler played second clarinet to his younger brother Johann Nepomuk in the Vienna Court Orchestra.  Mozart wrote both his Quintet for Clarinet and Strings and Clarinet Concerto for Stadler.

The works are srandards of the classical clarinet repertoire – along with the concerti and quintet by Carl Maria von Weber, and have been recorded by all the well-known clarinet soloists, from Canada’s James Campbell to Leopold Wlach. But the recordings I chose for today’s montage have a familiar, and probably for some of you unexpected soloist.

In the late 1970’s, Montreal’s Cablevision used to carry Burlington’s PBS affiliate WETK (Channel 33), and one of my favourite shows on that station was Evening at Pops, which still featured Arthur Fiedler (with the occasional Harry Ellis Dickson conducted programmes). One evening, this is what I saw and heard:



Yes, THE Benny Goodman, playing the Weber Concertino for clarinet with the Boston Pops. Goodman is not, strictly speaking, a classically trained clarinetist, although his first serious clarinet teacher Franz Schoepp was classically trained.

Goodman was a well-established Jazz clarinetist when he answered, shall we say, a late calling to explore the classical clarinet repertoire. In 1949, when he was 40, Goodman decided to study with Reginald Kell, one of the world's leading classical clarinetists. To do so, he had to change his entire technique: instead of holding the mouthpiece between his front teeth and lower lip, as he had done since he first took a clarinet in hand 30 years earlier, Goodman learned to adjust his embouchure to the use of both lips and even to use new fingering techniques. He had his old finger calluses removed and started to learn how to play his clarinet again—almost from scratch.

Goodman's first classical recording dates from 1938 when he recorded Mozart's Clarinet Quintet with the Budapest Quartet. In 1946, he met Ingolf Dahl, an emigre classical composer on the faculty of the University of Southern California, who was then musical director of the Victor Borge show. They played chamber music together (Brahms, Milhaud, Hindemith, Debussy) and in 1948 Goodman played in the world premiere performance of Dahl's Concerto a Tre. Goodman commissioned and premiered works by leading composers for clarinet and symphony orchestra that are now part of the standard repertoire, namely Contrasts by Béla BartókClarinet Concerto No. 2, Op. 115 by Malcolm ArnoldDerivations for Clarinet and Band by Morton Gould, and Aaron Copland's Clarinet Concerto.

He made a further recording of Mozart's Clarinet Quintet, in July 1956 with the Boston Symphony String Quartet, at the Berkshire (now Tanglewood) Festival; on the same occasion he also recorded Mozart's Clarinet Concerto, with the Boston Symphony Orchestra under Charles Munch. It is that pair of performances we will hear in today’s montage.

To complete the programme, I added Goodman’s recording of the Copland concerto.

I think you will love this music too!.

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Commentaire français


Anton Paul Stadler (1753–1812) était une clarinettiste-virtuose Viennois, et un membre de l'orchestre de la Cour Impériale. Probablement le virtuose par excellence de son époque, Mozart lui dédia une paire d'oeuvres tardives - un quintette qui porte son nom et le concerto K. 622, probablement le dernier concerto complété du vivant d'Amadeus.

Un peu comme discuté mardi dernier dans le cas de concerti pour cor, le concerto pour clarinette de Mozart est un cheval de bataille concertant pour la clarinette - avec, évidemment, les trois concerti de Weber. Autant M. Stadler fut l'homme de choix au 18e siècle pour la clarinette, la palme va à un bon nombre de virtuoses au 20e siècle: l'Autrichien Leopold Wlach, l'américain Richard Stoltzman, le canadien James Campbell viennent immédiatement à mon esprit. Mais, que dire des autres clarinettistes dits populaires?

Le clip intégré au commentaire anglais ci-haut est une prestation télévisée d'un de ces clarinettistes, qui embrassa le répertoire classique comme une vocatrion tardiuve: le clarinettiste de jazz américain Benny Goodman.

C'est vers l'âge de 10 ans que Goodman se met à l'instrument qui le rendra célèbre, mais il n'y a pas de traces d'un apprentissage orienté vers le classique. En fait, Goodman prendra des leçons sérieuses à l'âge de 40 ans afin de parfaire sa technique pour le répertoire de concert, sous la tutelle de Reginald Kell. Goodman s'engagea à cette éducation au point de réapprendre comment manipuler l'instrument, alllant même jusqu'à ce faire enlever la corne qui s'était formée sur ses doigts après 30 années d'usage!

Goodman,en plus de jouer Mozart et Weber, commanda des oeuvres de Ingolf Dahl, Malcolm Arnold, Bela Bartok et Aaron Copland. Plusieurss de ces oeuvres font maintenant partie du répertoire standard concertant pour l'instrument.

Le premier enregistrement classique de Goodman date de 1938 - une prestation du quintette Stadler de Mozart. En 1956, au festival d'été de Tanglewood, Goodman collabore avec un quatuor du Boston Symphony dans cette même oeuvre, ainsi qu'avec l'orchestre entier sous maître Munch pour le concerto K. 622. Cet enregistrement forme l'essentiel du montage d'aujourd'hui.

En complément de programme, je vous propose Goodman accompagné par le compositeur Aaron Copland au pupitre de l'orchestre de la maison Columbia dans l'interprétation de son concerto pour clarinette, cordes et harpe, celui-là même commandé par Goodman.

Bonne coute!





Tuesday, September 18, 2012

Mozart Concertos on MP3.COM


This is my Tuesday Blog. from Sep-18-2012 


This month’s Once Upon the Internet is a look at a trio of concertos by Mozart. Let’s begin with the last two…

Toronto Symphony Principal chairs Frederick Rizner and Joaquin Valdepenas collaborated with the English Chjamber Orchestra on a Summit Records album of three Mozart concertos. I can’t remember iof MP3.Com provided the Valdepenas Clarinet concerto, but it did provide the pair of horn concertos I am proposing today.



Mozart’s four Horn Concertos (along with Haydn’s and the pair by Richard Strauss) are a major part of most professional horn players' repertoire. The concertos were written for his friend Joseph Leutgeb, whom he had known since childhood. Leitgeb was clearly a skilled player, as the works are very difficult to perform on the natural horn of the period, requiring lip trills, much hand-stopping, and rapid tonguing. Most of us are familiar with the K. 495 finale, a "uite obvious example of the “hunt” topic. Rizner’s playing is at par with most horn soloists in my opinion.

As discussed in opur first Once Upon post on Schubert, Austrian pianist Jorg Demus was a solid contributor to MP3.COM, providing many works by BachSchumann and Mozart. This recording, I believe, is an old RCA Italia jobbie, recorded with the Collegium Aureum of Freiburg Germany. Although more frequent these days (HIP oblige), the use of a period pianoforte was not customary in the 1960’s and 70’s (likely period of the recording), though the excellent work by Dutch pianist and conductor Jos van Immerseel has made this a very acceptable practice.

The Piano Concerto No. 8 in C major, K. 246, also known as the “Lützow” is a contemporary work to the Haffner Serenade. Like the “Jeune Homme” concerto (no. 9), it was written for a female pianist – in this case Countess Antonia Lützow, 25 or 26 years old, who was a fine pianist.

Happy Listening!

DETAILS


Wolfgang Amadeus MOZART (1756 - 1791)

Piano Concerto No. 8 in C major, K. 246 (“Lützow”)
Jörg Demus, pianoforte and conductor
Collegium Aureum
(Downloaded from MP3.COM 25 June 2002)

Horn Concerto No. 3 in E flat major, K. 447
Horn Concerto No. 4 in E flat major, K. 495
Fred Rizner, Horn
English Chamber Orchestra,
Jose-Luis Garcia conducting
(Downloaded from MP3.COM 3 December 2001)

Jadis sur Internet: Concerti de Mozart sur MP3.COM

In English: http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/1036-once-upon-internet-mozart.html

Notre réflexion sur des oeuvres téléchatgées jadis sur MP3.COM propose trois concerti de Mozart. Commençons par les deux derniers.



Les premier pupitres du Toronto Symphony, le corniste Frederick Rizner et le clarinettiste Joaquin Valdepenas entreprirent ue collaboration sur disque avec l'English Chjamber Orchestra pour le label Summit. Les trois concerti sur ce disque incluaient le concerto pour clarinette (qui ne fut pas offert sur MP3.COM) et une paire de coincerti pour cor proposés ici.






Les quatre concerti pour cor de ozart (avec les concerti de Haydn et de Richard Strauss) sont les chevaux de bataille concertants pour cet instrument. En particulier, soulignions le finale du concerto K. 495 qui, avec son appel à la chasse, est probablement la mélodie la plus reconnue du lot.  Les quatre Mozart firent cpm,ôsés expressément pour son collègue et ami Joseph Leutgeb. On peut certes trouver des interprétations plus étoffées, mais celles de M. Rizner font amplement l'affaire en ce qui me concerne.

Vous vous souviendrez sans doute de Jorg Demus qui fut de notre première réflexion dans cette série. M. Demus signa pour RCA Italia un enregistrement du concerto K. 246 de Mozart ssir un pianoforte - et ce, avanty que cette pratique devienne largement acceptée (merci, M. Immerseel).

Ce concerto (sonm huiti;eme) est sous-titré “Lützow” en référence à la pianiste qui en fit la commande, la comtesse Antonia Lützow. Ce concerto, comme le concerto “Jeune Homme” qui le suivra, fit donc composé pour un soliste (en fairt, dans les deux cas, une soliste) autre que Mozart lui-même.

Bonne écoute!


DETAILS

Wolfgang Amadeus MOZART (1756 - 1791)

Concerto pour piano no. 8 en ut majeur, K. 246 (“Lützow”)
Jörg Demus, dirigeant du pianoforte
Collegium Aureum
(Téléchargé de MP3.COM le 25 juin 2002)

Concerto pour cor no. 3 en mi bémol majeur, K. 447
Concerto pour cor no. 4 en mi bémol majeur, , K. 495
Fred Rizner, Cor
English Chamber Orchestra,
Jose-Luis Garcia, dir.
( Téléchargé de MP3.COM le  3 décembre 2001)

Performances @ http://archive.org/details/OnceUponT...ertosOnMp3.com

Friday, September 14, 2012

Momtage # 71 - Double Play/ Double Jeu: Mozart & Mendelssohn



As of October 19, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 19 octobre 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/DoublePlayMozartMendelssohn




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English Commentary – le commentaire français suit


I'm not quite sure why, nut today I geel like sharing some baseball anecdotes. Maybe it's because we are in September, when the pennant races heat up and prospects are called up to fill-up MLB rosters for that last push before the end of the season. Or maybe it's because I notice that the Washington Nationals have one of the best records in baseball this year.

The Nationals, of course,m used to be my hometown Montreal Expos before they relocated a few years back - the Expos were my (and the city's) Summer religion for about 25 years. I say that because most people abandoned pro baseball in Montreal after the strike-shortened season of 1994 and the cancellation of the World Series. The Expos had one of the best records in baseball, and could have gone "all the way" that year. Lots of people were heart broken and quite angry after that. And the good players left for more money elsewhere...

But in the five year period between 1978 and 1983, trhe Expos were "big spenders" (remember Dave Cash?) and had extremely competitive teams. The names that come to mind... Gary Carter (who passed away earlier this year), Anbdre Dawson, Tim Raines. The Expos had a promising prospect who needed a place to play, and to make room for a rookie Tim Wallach, they traded their then long-time third baseman Larry Parrish to the Texas Rangers in the off-season and acquired Al Oliver.

Oliver was a character - a sharp dresser, a great hitter, named to the All-Star teamm in 1983 (the game was played in Montreal that Summer). He wore "Number 0", which of course stood for "a new start", matched his last name's initial, and probably represented his ability to play defense.

Becausem you see, in the National League, if you want someone to hit everyday, he has to play the filed every day. Oliver was put on First Base (one of a few positions where not much is expected physically from a defensive player), except for one thing: the infamous 3-6-3 Double Play.



Oliver's arm strength was such that he could not theorw the ball hard or accurately to cover the 90 feet between first and second base, and the opposing players knew it. For as many extra-base hits he would make, a ball hit hard to First meant a "forced out" at first, and runners advanced at will if they were on base. That Summer, the Expos acquired reserve First baseman John Milner form the Pirates, and he would be inserted into the lineup in the late innings as a "defensive measure". The crowd gave Milner a standing ovatyion when he pulled the first 3-6-3 double play in almost two years!

Todauy's 3-6-3 double play is represented by Mozart at First and Mendelssohn at Short - Mozart contriobutes two "double concertos" bookending Mendelssihn's only double concerto.

On Tuesday, we heard the first oif three concertante pieces for two solo instruments (the Sinfonia Concertante, K. 364). Today, we sample the Flute and Harp concerto, and Mozart's concerto for two pianos. The Mendelssihn work, a contemporary of his youthful violin concerto in D, involves piano and violin with strings.

I think you will love this music too!

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Commentaire français

Quand j'étais aux études de maîtrise, je faisais partie d'une équipe de balle-molle. La balle molle, cèest la vertsion moins sérieuse du baseball, qui implique normalement un jeu relax, de la bière en bonne quantité et dans notre ligue, un minimum de trois demoiselles. Pour un match ou deux, une étudiante post-doctoralke de France sèest jointe à notre équipe et sa question une fois sur place était: mais où est donc la montagne?




Elle parlait bien sûr du monticule, exagéré à souhait dans les bandes dessinées de Charlie Brown (ci-haut).

Le baseball est tantôt jeu de stratégie, tantôt hjeu d'adresse et toujours une source de discussions parmi les spectateurs. On ne peiut apprécier un match de baseball que dans ce qu'on appelle communément les estrades populaires. Dans le temps, pour un dollar, ion pouvait assister à un match des Expos de Montréal au stade Olympique pour un dollar!

Pourquopi parler de baseball? Eh bien, l'expressuion double jeu au baseball désigne un jeu défensif important, impliquant le retrait de deux coureurs suite à un coup frappé au sol, et l'échange rapide de la balle entre les joureus d'avant champ qui doivent toucher le coussin avant l'arrivée du coureur (qui lui, selon les règles du jeu, se doit d'avancer au prochain coussin si la balle est en jeu).

Dans le commentaire anglais, je présente une vidéo du double jeu 3-6-3, c'est à dire la balle frappée au joueur de premier but, qui la rement au joueur d'arrêt--court qui, après avoir touché au deuxième coussin, la rement au premier avant que le fraoppeur n'arrive au premier coussin.

Une façon un opeu unique d'encadrer notre montage de cette semaine, qui offre trois souble concerti: deux de Mozart (un troisième, sa sinfonia conceertante pour alto et violon, fut présenté il y a quelques jours), et le concerto de jeunesse de Mendelssohn pour piano et violon.

De Mozart, à Mendelssohn, et de retour à Mozart. Un peu comme notre doubl;e-jeu 3-6-3...

Bonne écoute!


Tuesday, September 11, 2012

Récital Mozart au Musée Gardner

In English: http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/1027-mozart-recital-gardner-museum.html

Pour notre deuxième mardi en musique dédié à Mozart, faisons un retour au musée Gardner de Boston, là ou se sont déroulés la majorité de nos prestations de l'été des sonates..


Notre premier choix est le premier des deux quatuors pour piano, violon, alto et violoncelle d'Amadeus. En fait, on écrit qu'il s'agît ici des premiers quatuors écrits pour cette combinaison d'instruments. Nous entendons ici un Mmozart définitivement plus sombre, plus sérieux - contrastant avec son eouvre pour chambristes jusqu'alors plutôt dans le genre classique de l'époque. Une prestation du Nash Ensemble.


Les deux concerti qui complètent notre récital impliquent l'orchestre "maison" - le Gardner Chamber Orcestra - sous la direction du chef et oboïste Douglas Boyd, un spécialiste du baroque et du classique. Le premier concerto retenu est celui pour flûte K. 314, discuté wt présenté un vendredi l'an dernier comme étant l'adaptation d'un concerto pour hautbois.. La soliste est Paula Robeson, une habituée des récitals au musée, et naguère soliste dans l'enregistrement Bernstein du Carnaval des Animaux.

POur compléter le programme, une oeuvre qui présage notre montage de vendredi sur les double concerti de Mozart: la sinfonia concertante K. 364, avec Corey Cerovsek et l'altiste Kim Kashkashian.

Bonne écoute


Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)


Quatuor pour piano no.1 en sol mineur, K. 478
Nash Ensemble
http://traffic.libsyn.com/gardnermus...ozart_k478.mp3


Concerto pour flûte no. 2 en ré majeur, K. 314
Paula Robison,  flûte 
Gardner Chamber Orchestra sous Douglas Boyd
http://traffic.libsyn.com/gardnermuseum/mozart_k314.mp3


Sinfonia Concertante en mi bémol majeur, pour violon et alto, K. 364
Corey Cerovsek, violon et Kim Kashkashian, alto
Gardner Chamber Orchestra sous Douglas Boyd
http://traffic.libsyn.com/gardnermuseum/mozart_k364.mp3


Friday, September 7, 2012

Montage # 70 - Hommage à Mozart



As of October 12, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du `1 octobre 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/HommageMozart


pcast070- Playlist

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Commentaire françai – English Commentary Below


Comme il m’arrive à l’occasion, ce billet commence par une réflexion en français, tout à fait inspirée par le titre que j’ai choisi pour l’occasion. Nous entamons cette série Mozart et encore plus avec des sélections provenant d’autres compositeurs, mais clairement inspirées par notre cher Amadeus –en fait, c’est le titre de la petite pièce d’André Gagnon qui ouvre notre montage de cette semaine…

Commençons par les trois pièces majeures retenues pour ce montage, à commencer par le concerto estudiantin d’un Beethoven de 14 ans, qui rappelle beaucoup plus Mozart que le style qui marquera les cinq autres concerti qui le succèderont. Ce concerto pourrait fort bien s’insérer parmi le dernier tiers des concerti de Mozart: léger, pianistique mais pas nécessairement un poids-plume.

De Liszt, une de ses nombreuses pièces virtuoses inspirées de passages opératiques – celle-ci inspirée par Don Giovanni, Vous y reconnaitrez sans doutes certains des arias célèbres de l’opéra, tels qu’adaptés pour un virtuose du clavier.

La quatrième suite pour orchestre de Tchaïkovski est une suite d’orchestrations de quatre pièces de Mozart, dont une paire de petits pastiches pour piano, l’Ave Verum Corpus (sans le choeur obliogato) et les variations sur un thème de Gluck. Voici d’ailleurs une playlist YouTube qui renferme les versions originales – vous verrez clairement que Tchaïkovski reste tout à fait fidèle aux intentions de Mozart.



Pour compléter le montage, une adaptation pour guitare par Fernando Sor qui s’inspire d’una autre opéra de Mozart, la flûte enchantée. Enfin, l’adagio de la 98e symphonie de Joseph Haydn, un hommage à Mozart de la part d’un collègue qui ressent le deuil profond causé par le récent décès de son ami.

Bonne écoute!



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English Commentary


I tricked you, didn’t I! It doesn’t happen often that I begin in French and follow-up in English… But since the post title is in French, I couldn’t resist!

We begin our Mozart and Much More month with a set of tributes to Mozart by other composers. I have retained three major works in our montage, the first is one which I personally consider a study in Mozart’s piano concerto style by a 14 year-old Beethoven. Some will argue this is not Beethoven’s best work (rarely the case when you’re a teenager), and the re-orchestrations by musicologist Willy Hess and the one I retained by our soloist Ronald Brautigam are probably much better than the original student orchestration, but the pianistic style and overall mood of the piece would make it fit right into the last third of the Mozart Concerto set.

In an early OperaLively post, I presented many works by Franz Liszt that find their inspiration in Opera – and this virtuoso piece based on airs from Don Giovanni is one of my favourites in that set.

The Tcahikovsky Mozartiana suite is a series of Mozart pieces that Tchaikovsky adapted for orchestra – a pair of small piano pastiches, the Ave Verum Corpus (without the singing) and the Gluck piano variations. Tchaikovsky stays very close to Mozart’s intentions – you can hear from yourself when compared to the originals that I inserted in the above French commentary.

To complete the montage, works by an artist once called le Mozart canadien, André Gagnon – so named because he hired the Montreal Symphony to back him up in a “serious” concert of Mozart concerti in the mid-60’s. The Sor Introduction and Variations on the Magic Flute is probably his most played work and, finally, the adagio from Haydn’s 98th symphony – a tribute to a colleague who (at the time) had recently passed away.

I think you will love this music too!


Tuesday, September 4, 2012

L'Haffner est dans le sac

In English: http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/1023-its-haffner-time.html

Entre Mardi en Musique et nos montages du vendredi (en plus de mes autres plateformes), l'essentiel de mes sélections musicales pour le mois de septembre seront autour de notre cher Amadeus, dans une série que j'appelle Mozart et encore plus.

Afin d'entreprendre cette série, et amorcer le retour de nos blogs en tandem avec TalkClassical après deux mois d'absence dans nos pages d'ITYWLTMT, je vous propose une paire d'oeuvres de Mozart qui ont en commun une famille (peut-on le dire) Salz-bourgeoise: les Haffner.





La Salzach divise le centre ville de Salzbourg en deux parties. À l'est, la rue commerçante Linzergasse conduit à la colline des Capucins (Kapuzinerberg), à l'église Saint-Sébastien et à son cimetière où sont enterrés la famille de Mozart, C'est le long de cette rivière qu'on  retrouve le Sigmund Haffner Gasse nommée  après Sigmund Haffner l'ainé, le maire de Salzbourg entre 1768 et 1772.

Marié deux fois, Haffner mariera iune de ses filles (issue de son premier mariage)  Marie Therese au marchand Franz Xaver Andreas Athanasius Weiser, fils ainé de son of Ignatz Anton Weiser (auteur du livret de Die Schuldigkeit des ersten Gebotes, K. 35 et successeur de Haffner à la mairie de Salzbourg) et son fils de sa deuxième épousaille, Sigmund le jeune marchand, noble,m phianthrope et mécène et ami de Mozart.

La Sérénade Haffner

La sérénade K. 250 , composée en 1776 fut une commande du jeune Sigfried Haffner afin de souligner le mariage de sa soeur "Liserl" Marie Elizabeth et de Franz Xaver Anton Späth.

Ce qui est particulièrement notoire ici est un trésor caché:È les deuxième, troisièeme et quatrième des huit mouvements de la sérénade forment pour ainsi dire un concertno pour violon.


La symphonie Haffner

Je me réserve pour un billet de la série Quinze que j'en pense une réflexion plus approfondie sur les symphonies de Mozart. Suffit-il de souligner ici que les six derniè;res symphonies d'Amadeus (si l'on oublie, comm plusieurs, sa 37e qui est attribuée conjointement à Mozart et Michael Hatdn) forment un legs sérieux, un pr.curseur des grandes sympohonies des premi;res hjeures du romantisme de la part de Beethoven et Schubert. La symphonie Haffner fait partie de ce legs.


Le 9 juillet 1782, l'Empereur Joseph II confèra au jeune Haffner des lettres de noblesse, dont le titre "Edler von Innbachhausen". La symphionie fur commandée afin de souligner cet évènement.

Bonne écoute!


DETAILS

Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)

Sérénade no. 7, en ré majeur, "Haffner" pour orchestre, K. 250
Artistes non-identifiés
http://www.youtube.com/playlist?list=PL86077C2A56669F2C


Symphonie no. 35, en ré majeur, "Haffner" pour orchestre, K. 385
Mito Chanber Orchestra sous Seiji Ozawa
http://www.youtube.com/playlist?list=PLE45A22B7AFAC9EEA

Monday, September 3, 2012

Mozart ... and Much More! / Mozart ...et encore plus!




English Text - le texte français suit

It seems to be a tradition - late Summers are the time of ytear where all major Mozart festivals occur - no exception here...

All September, we will be focusing on music composed or inspired by Mozart. Here's the menu - and links as they become available

Friday Blog and Podcast:

I have four podcasts planned this month. Hommage à Mozart is a look at Mozart from the viewpoint of other composers inspired or building from Mozart's works. Double Play is a set of Mozart double concertos, complemented by a youth concerto by Mendelssohn. Mozart and the Clarinet is an opportunity to take in Benny Goodman as a classical clarinettist in a pair of Mozart clarinet favourites (and in the concerto he commissioned from Aaron Copland). Finally, Mozart and his horny friends is all about the French Horn.

Tuesday Blog

More Mozart in the Tuesday Blog with a YouTube playlist It's Haffner Time featuring the two major worlks commissioned by the well-to-do Haffner clan. We return to the Gardner Museum for a Mozart Recital, and we will take in some Mozart concertos from Once Upon the Internet. Finally, there will be some Mozart recommendations in la Chronique du Disque.


Once or Twioce a Fortnight

A pair of complete Mozart Operas are planned for OperaLively this month: Idomeneo (pieced out of Sean Bianco's great Capital Public Radio podcast) and Le Nozze di Figaro (sampled from MQCD Musique Classique's Vinyl Library).

More Mozart

You can go back and reacquaint yourselves with some other Mozart posts: My "Number One Obsession" featuring Mozart, Mozart's European Vacation et Gez Anda au pianothon dans Mozart et Bartokcome to mind!

Texte français 

Mozart...et encore plus est le thème de notre série de réflexions et de sélections musicaux pour septembre. Voici les billets à surveiller (et les hyperliens quand disponibles)

Blog et Balladodiffusdion du vendredi

j'ai prévu quatre montages en septembre. Hommage à Mozart est un regard furtif sur Amadeus de la part d'autres compositeurs.Double Jeu met en relief Mozart et ses double concerti, avec en complément un concerto double de  Mendelssohn. Mozart et la clarinette présente Benny Goodman comme interprète sérieux dans deux Mozart et une commande à Aaron Copland. Finalement Mozart ... et en-cor plus offre un cor-à-cor inusité avec des oeuvres de Mozart et autres.

Mardi en Musique

Nos suggestions: l'Haffner est dans le sac s'attarde sur une paire de commandes de la famille Salz-bourgeoise, un retour au musée Gardner pour un récital Mozart, des concerti Mozart obtenus Jadis sur Internet et des suggestions Mozart parmi celles de notre Chronique du Disque.

Quinze que j'en pense

Sur MQCD Musique Classique, une paire de réflexions sur les variations pour piano de Mozart (et Max Reger) et l'intégrale des symphonies de Mozart par Trevor Pinnock disponibles pour votre bon plaisir sur MP3Lemon.

Et si le coeur vous en dit


Vous pouvez retourner litre et écouter mes réflexions passées sur Amadeus dont l'Obsession "Numéro Un"les vacances de Mozart and our pianothon post on Mozart and Bartok.